mercredi 21 novembre 2007

Hospitaliser de force les prisonniers politiques Mapuche


Telle serait la décision prise par la direction de la prison de Angol, en acceptant le Recours de protection transmit par la Cour d'appel de Temuco. Cette décision se base sur le rapport réalisé par le médecin de la Direction nationale de gendarmerie qui affirme que la santé des prisonniers entre désormais dans une phase critique. Les 5 prisonniers accusent chacun une baisse de poids de 15 à 20 kilos.
Depuis la prison, ils ont signalé qu'ils n'accepteraient pas d'être transférés dans un centre de soin comme l'a planifié la gendarmerie.
Ils accusent le gouvernement de refuser d'envisager toute sortie politique à la crise, et de faire preuve d'"une attitude insensible et obstinée en continuant à garder le silence sur ce sujet".

2 commentaires:

Anonyme a dit…

SVP, corrigez cette faute:"... ils ont signalÉS...". Il faut écrire: ...Ils ont signalÉ..."
Bravo pour votre initiative, cette situation est ignorée ici et ses responsables se pavanent dans le décor politique en affichant une auréole de "progressisme" qu'il y a lieu de replacer dans son contexte réel.

Marcel Duhaime.

Réseau de soutien aux prisonniers politiques Mapuche a dit…

Merci pour votre vigilance et vos encouragements